Vu dans la presse

Retrouvez ici les articles de presse sur le JAM

Le Jaroszynski Museum de Loches est un projet familial qui vise à offrir au couple de peintres Karin et Tadeusz Jaroszynski la notoriété locale et hexagonale qu’il avait su se bâtir sur plusieurs continents…

Il y a Loches et le Jaroszynski Museum, le JAM posé au cœur de la Cité Royale. Il y a également Karin et Tadeusz qui lui ont donné leur patronyme. La première était Finlandaise, le second, né en Croatie était Polonais par son père et Finlandais par sa mère. Ils ont vécu en Suède, en Touraine et en Afrique du Sud où ils s’installèrent en 1957. Ils ont voyagé en Asie et en Australie. Entre eux, ils échangeaient en finnois et en anglais. Leur réputation d’artistes est internationale. Et sans frontière est l’amour de leur fille, Carolina, pour ses parents dont la mémoire et le talent foisonnant s’exposent ici à Loches par sa volonté et celle de son mari, Max de Mareuil.

L’entrée dans cet espace à la fois intime, parce que familial, et ouvert aux grands vents de l’histoire de l’art qui porta ce couple, s’effectue par le café JAM. D’avril à novembre, Carolina et Max de Mareuil et les amis de l’association qu’ils ont créée pour porter ce projet y proposent conférences et concerts. Mais, la première chose que Carolina tient à nous montrer est une œuvre intitulée Yesterday, today and tomorrow. En cours de restauration au moment de notre visite, ce tableau signé par Karin Jaroszynska est un voyage de 7,65 m de long sur 1.65 m de haut ; des proportions à la démesure de son inspiration. « Il s’agit d’une commande que son propriétaire parti faire le tour du monde de plusieurs décennies a entreposé sept ans dans un bateau avant d’accoster dans une galerie d’Afrique du Sud », explique-t-elle.

De l’Afrique du Sud à Loches

C’est dans ce pays où ils ont longtemps vécu qu’ils ont gagné leur notoriété. « Ils ont exposé toute leur vie dans de très belles galeries, telle la Everard Read Gallery de Johannesburg. » A leur retour en France, ils exposeront notamment dans la galerie Romanet à Paris. « Ma mère était enfermée dans son univers et parlait peu de son art, à la différence de mon père plus bavard et admiratif du travail de son épouse. Chacun avait son atelier. » C’est à Villeloin-Coulangé, dans la maison où ils finirent leur vie, que Carolina pensa d’abord ouvrir le JAM. Puis ce sera finalement Loches et cet ancien café où, avec l’aide leur leurs enfants, Carolina et Max ouvriront ce lieu le 14 juillet 2021. La famille ne manque pas d’idée pour développer l’image du couple d’artistes internationaux. Avec l’appui des quelques 200 membres de leur association, elle compte éditer des livres, exposer d’autres artistes et même développer des liens avec le milieu universitaire polonais et sud-africain.

Le Jaroszynski Museum de Loches est un projet familial qui vise à offrir au couple de peintres Karin et Tadeusz Jaroszynski la notoriété locale et hexagonale qu’il avait su se bâtir sur plusieurs continents…

Il y a Loches et le Jaroszynski Museum, le JAM posé au cœur de la Cité Royale. Il y a également Karin et Tadeusz qui lui ont donné leur patronyme. La première était Finlandaise, le second, né en Croatie était Polonais par son père et Finlandais par sa mère. Ils ont vécu en Suède, en Touraine et en Afrique du Sud où ils s’installèrent en 1957. Ils ont voyagé en Asie et en Australie. Entre eux, ils échangeaient en finnois et en anglais. Leur réputation d’artistes est internationale. Et sans frontière est l’amour de leur fille, Carolina, pour ses parents dont la mémoire et le talent foisonnant s’exposent ici à Loches par sa volonté et celle de son mari, Max de Mareuil.

L’entrée dans cet espace à la fois intime, parce que familial, et ouvert aux grands vents de l’histoire de l’art qui porta ce couple, s’effectue par le café JAM. D’avril à novembre, Carolina et Max de Mareuil et les amis de l’association qu’ils ont créée pour porter ce projet y proposent conférences et concerts. Mais, la première chose que Carolina tient à nous montrer est une œuvre intitulée Yesterday, today and tomorrow. En cours de restauration au moment de notre visite, ce tableau signé par Karin Jaroszynska est un voyage de 7,65 m de long sur 1.65 m de haut ; des proportions à la démesure de son inspiration. « Il s’agit d’une commande que son propriétaire parti faire le tour du monde de plusieurs décennies a entreposé sept ans dans un bateau avant d’accoster dans une galerie d’Afrique du Sud », explique-t-elle.

De l’Afrique du Sud à Loches

C’est dans ce pays où ils ont longtemps vécu qu’ils ont gagné leur notoriété. « Ils ont exposé toute leur vie dans de très belles galeries, telle la Everard Read Gallery de Johannesburg. » A leur retour en France, ils exposeront notamment dans la galerie Romanet à Paris. « Ma mère était enfermée dans son univers et parlait peu de son art, à la différence de mon père plus bavard et admiratif du travail de son épouse. Chacun avait son atelier. » C’est à Villeloin-Coulangé, dans la maison où ils finirent leur vie, que Carolina pensa d’abord ouvrir le JAM. Puis ce sera finalement Loches et cet ancien café où, avec l’aide leur leurs enfants, Carolina et Max ouvriront ce lieu le 14 juillet 2021. La famille ne manque pas d’idée pour développer l’image du couple d’artistes internationaux. Avec l’appui des quelques 200 membres de leur association, elle compte éditer des livres, exposer d’autres artistes et même développer des liens avec le milieu universitaire polonais et sud-africain.

Tadeusz et Karin Jaroszynski sont des artistes de renommée internationale. À partir de 1997, ils se sont retirés à Villeloin-Coulangé, à l’Hermitage, route de Saint-Hippolyte, pour se rapprocher de leur fille Karolina. Karin est décédée en 2014 et Tadeusz en 2020. Ils étaient peintres tous les deux, dans des styles très différents. Pour leur rendre hommage, leur fille a décidé, avec son mari Max de Mareuil, de dédier à leur mémoire un musée, le Jam (Jaroszynski art museum). Situé place Saint-Charles, à Loches, dans la cité royale, à côté de l’entrée du château, il fait face à la collégiale Saint-Ours. « C’est un projet familial, fait observer le couple, car nos trois enfants, Nathalie, Grégoire et Mathilde, y participent. » Karolina avait fait part de ce projet à son père quelques mois avant sa mort. « Pas pour moi, lui avait-il dit, mais pour ta mère. »

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/commune/villeloin-coulange/sur-les-pas-de-deux-peintres-disparus

Un projet familial, inspiré par la vie artistique de ses parents, a poussé Carolina de Mareuil, son mari, Max de Mareuil et leurs trois enfants à investir dans un lieu unique au cœur de la Cité Royale, au 1 place Charles VII. Entre culture, lieu de détente et improvisation, le Jaroszynski Art Museum multiplie les projets.

http://sudtouraineactive.com/le-webzine/breves/jaroszynski-art-museum-un-lieu-entre-culture-detente-et-improvisation